mardi 11 octobre 2011

1ère chronique -en Avant-première- de Maaatch!

Maaatch, c’est un de mes copains de Mauléon-Licharre. Je lui ai parlé de mon bouquin (”L’infection”, vous vous rappelez?) depuis le tout début, lorsque j’ai commencé à en écrire le plan du tome 1, fin 2008. Il était juste qu’il soit un des premiers à lire le texte intégral en avant-première. Voici ce qu’il en a dit sur son propre blog

Eh oui, Mr Boyer m’a fait l’honneur de me faire lire son livre en avant première, alors je l’ai goulument dévoré. Je signe mon retour sur ce blog depuis un long moment avec l’ouvrage sus-cité.
Je vais aller droit au but. C’est un bon livre, un bon roman de science-fiction, un peu futuriste dans les faits, contemporain de par les dates utilisées dans le roman. Je l’ai lu quasiment d’une traite, avec plaisir, et l’envie d’aller au bout.
Les personnages sont un peu basiques, mais faciles et intéressants à suivre, les lieux, amusants à découvrir en tant que souletin (eh oui, l’action se passe dans nos vertes vallées…), et l’histoire assez bien conçue.
L’écriture, c’est de l’Étienne tout craché, bien écrit, pas de manière pompeuse, simple et efficace, mais avec quelques belles phrases bien tournées. Des passages un peu crades, tantôt porno-trash, tantôt gores ( et oui, l’auteur aime les bons vieux films de zombies….), mais passent bien dans l’ensemble.

Quelques points négatifs tout de même ! Eh oui, je vais faire une vraie critique ! ^^ : En voulant faire un truc du coin, en mettant des noms et prénoms locaux, Étienne a voulu bien faire, mais en ne mettant que des Antton, Xabi, Beñat, et autre Maddalen, je trouve que ça fait un peu caricature de campagne isolée, de monde à part…. Mettre Sickolas Narkozy aussi, je trouve que ça n’apporte rien au livre, et il aurait pu mettre un président, ou un nom de président quelconque… Enfin, c’est pour la blague, et le plaisir de le maltraiter…
Ensuite, un truc important, comme le bogue mondial est écrit en quelques petites lignes, alors que c’est un truc important, alors que la description de l’ile SL de l’héroïne, intéressante mais pas capitale, prend plus de place, il y a deux ou trois passages que je trouve disproportionnés….

Enfin, je chipote, et c’est un bon ouvrage, bien torché, et il me tarde de pouvoir lire la suite !!  Good job Boyergaray !

Donc voilà, ça m’a fait bien plaisir de lire cette première chronique publique, fut-elle écrite par un ami (qui m’a ménagé, à n’en point douter). Je dirais que la partie où il critique le livre est celle que je vais retenir, pour la bonne et simple raison… qu’il a raison sur plusieurs points. Disons que j’étais déjà parvenu à ces conclusions tout seul, mais que j’avais occulté (par flemme : marre de lire et relire tout le temps le même manuscrit! J’ai l’impression de faire du sur-place.).

C’est toujours bon de poser des mots là où ça coince : ça permet parfois de rectifier le tir et d’avancer.
Je ne dis pas que je vais tout réécrire à chaque fois que quelqu’un mettra le doigt sur un truc qui cloche (parce que dès fois, justement, c’est fait exprès que ça ait l’air bancal ou caricatural), mais quand il faudra corriger (pour des raisons de cohérence, essentiellement), je le ferai.

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