jeudi 9 juin 2022

Du nouveau pour la suite... #LMOJ

Bonjour à toutes et à tous ! 

Aujourd'hui, on va parler de mon nouveau projet de roman. Ceux qui me suivent sur les réseaux sociaux ont déjà vu passer le visuel ci-contre. Pour ceux qui le découvrent, vous l'aurez compris, mon prochain livre ne sera pas le fameux spin-off de "L'infection" dont j'ai déjà parlé ici. En effet, après mûre réflexion, j'ai décidé de laisser passer un peu de temps entre ma première trilogie et cette "suite" (qui a priori n'en sera pas une). On va dire que cette histoire n'est pas encore tout à fait calée dans ma tête et que j'ai vraiment besoin de souffler après un gros morceau comme ça. Mais ce n'est pas annulé. Juste ajourné, qu'on se le dise !
Il se trouve que j'ai une autre histoire plus mûre à raconter.

Donc mon nouveau projet a (pour l'instant) le titre de travail "Le moment ou jamais" (#LMOJ). Ça pourra évoluer, quoique l'expérience m'a montré que la première idée était presque toujours la bonne. Par exemple, ce matin, dans la voiture, j'ai pensé à "Un mal pour un bien" ; mais évidemment, ce titre très bateau (pour ne pas dire mièvre) a déjà été pris par une certaine Danielle Steel. Faudrait pas qu'on puisse malencontreusement penser que j'ai écrit un livre à l'eau de rose... 

De quoi ça va parler ? 

Je ne peux pas vous en dire trop, au risque de divulgâcher l'intrigue, mais l'idée m'est venue grâce au proverbe "ce sont toujours les meilleurs qui partent les premiers", qui m'a sauté à l'esprit lors d'un récent enterrement auquel j'ai assisté. Sous entendu : "ceux qui restent sont forcément les salauds"... En gros, "Le moment ou jamais", c'est l'histoire d'un vilain vieux. Ce sera un roman noir, mais avec un humour très grinçant, entre "L'infection" et "Les routes du crépuscule", avec un twist final inattendu. 

Où ça va se dérouler ? 

En Soule, évidemment.
Pourquoi ? Parce que comme je l'ai déjà dit à plusieurs reprises, la Soule, c'est le "personnage récurrent" de mon œuvre. Lui donner une telle importance, c'est ma façon à moi de rendre hommage à ce petit pays qui m'a accueilli sans réserve, il y a 25 ans. Et je trouve qu'elle mérite qu'on la mette en valeur, même si cette version alternative de mon cru relève plus du cauchemar que du petit paradis qu'elle est, en réalité. 

C'est pour quand, la sortie ? 

Eh, je viens de publier "Les routes du crépuscule" ! Vous allez patienter encore un peu, hein ? 😁
En vrai, je ne sais pas. Écrire demande beaucoup de temps pour soi. Il faut se brusquer, s'isoler, se concentrer, ne pas être dérangé... C'est peu compatible avec un travail salarié et une vie de famille. Et sinon, c'est au prix d'immenses sacrifices.
J'en appellerai presque à un nouveau confinement ! Presque... 😧
Alors j'écrirai à mon rythme, sans prise de tête. Mais si ça peut vous rassurer, ça va se faire !
Un jour prochain !

La création graphique, pourquoi si tôt ? 

Comme toujours dans ces moments de frénésie où je me lance dans un nouveau projet, j'ai besoin de m'encourager moi-même. Ça me permet de me donner une direction artistique conceptuelle, une idée générale vers laquelle je dois tendre, histoire de ne pas perdre le fil conducteur. Donc là, il s'agit d'un montage photo réalisé par mes soins à partir d'une image libre de droits récupérée sur le site Pixabay. J'y ai appliqué quelques filtres de couleur et des ombrés pour donner un air aigri et inquiétant à mon personnage. J'ai accentué les cernes et les contours du visage pour lui donner comme une "tête de mort", je lui ai collé des yeux délavés pour un rendu encore plus troublant et le titre en blanc, posé sur les lèvres, ressemble à des rides "code-barre" ou à la mandibule/maxillaire d'un crâne humain passé à la javel.
Vous avez raison : c'est une allégorie de la Mort. Mais une Mort qui n'en a pas fini avec la vie...
Et je n'en dirai pas plus pour aujourd'hui ! 

mercredi 8 juin 2022

Une Chronique de Caroline Herrera pour #LRDC !

Caroline Herrera, dont j'ai déjà parlé dans ce blog pour ses romans policiers également publiés chez Astobelarra a eu la gentillesse de publier le 19 mai dernier une chronique sur mon livre #LRDC, sur sa page Facebook
Je vous la republie ici :

La seule véritable raison pour laquelle il faut absolument lire "les routes du crépuscule" d'Etienne H. Boyer ?

En premier, je pourrais vous dire que c'est pour l'histoire : et si de nouveau, tout était possible, que feriez vous ? C'est ce qui arrive à ce couple qui se retrouve à ses 20 ans, et nous replonge à sa suite dans les années 90, les francs, les cassettes, la vie étudiante...

En second, cela pourrait être pour les personnages, attachants malgré - ou grâce - à leurs défauts. Nous les suivons dans leurs évolutions, dans leurs quêtes de leur idéal et leurs désillusions.

Et en troisième, je vous parlerais du style de l'auteur qui réussit à nous embarquer dans ce récit rythmé où l'humour (souvent cynique, jamais méchant) est au rendez vous.

En vérité, la seule et unique raison est parce que ce livre fait partie des "grands", ceux qui ne vous lâchent pas, qui vous trottent dans un coin de la tête, vous questionnent sur le sens de votre vie, de la vie en général. Il y a un ou deux livres que je cite lorsqu'on me demande des romans qui m'ont marqué, je sais que "les routes du crépuscule" en fera partie désormais !

Waouh ! Quand je lis ça, ça me donne le vertige. Et ça me donne envie de continuer à écrire parce que quelque part, ça veut dire que j'ai accompli ma mission de "raconteur d'histoire".

Pour le moment, à une exception près, je n'ai reçu que des compliments et des bons retours pour ce roman. Il en faut toujours au moins un qui n'a pas aimé, sinon, c'est louche ^^. Ce coup-ci, c'est Mathieu Larregain qui s'y est collé. Et comme je suis un gars honnête, je vous donne le lien de sa chronique 👉 ici. (Je ne vais pas pousser l'autoflagellation jusqu'à la republier directement dans mon blog, quand même 😁).