mercredi 20 mai 2015

L'infection T2 Pandémie : état de travail au 20/05/2015

Je viens de me rendre compte que certains de mes chapitres (les deux qui se déroulent à Concrete) étaient un peu longs par rapport aux autres. Tous tournent à une moyenne de 12 pages. Ceux-là faisaient respectivement 22 et 24 pages. Je les ai donc scindés chacun en deux. Du coup, je suis passé de 13 chapitres à 15. J'avoue, ça fait un peu trucage, cette affaire, mais eh! Je suis seul maître à bord, qu'on se le dise!
Comme pour le premier tome, je me prête volontiers à l'exercice de présentation de l'état de travail en temps réel : 

Chapitre 1 : Phoenix (écrit)
Chapitre 2 : De Charybde en Scylla (écrit)
Chapitre 3 : Le dormeur doit se réveiller (écrit)
Chapitre 4 : Sauvez Wall Street (écrit)
Chapitre 5 : Tout vient à point... (écrit)
Chapitre 6 : Natalie (écrit)
Chapitre 7 : La chasse (écrit)
Chapitre 8 : Baker Lake (écrit)
Chapitre 9 : Les eaux noires (écrit)
Chapitre 10 : Buffet froid (écrit)
Chapitre 11 : ...à qui sait attendre (écrit)
Chapitre 12 : L'antivirus X (écrit)
Chapitre 13 : Plan de bataille (écrit)
Chapitre 14 : Un bon tiens... (écrit)
Chapitre 15 : Beltzane (en cours d'écriture)
Chapitre 16 : 47.509172, -121.843366. (écrit)
Chapitre 17 : ...vaut mieux que deux tu l'auras. (en cours d'écriture)
Chapitre 18 : ...
Chapitre 19 : ...
Chapitre 20 : ...
Epilogue

Voilà, vous savez tout... Ah oui, par souci de cohérence avec le premier tome, j'ai prévu 20 chapitres et un épilogue, mais je ne sais pas encore si je pourrais tenir ce décompte. Pas que je n'aie plus rien à raconter, hein? Mais je ne vois pas pourquoi je délayerais pour entrer dans un cadre fixe. Je n'aime pas les cadres fixes, alors quand en plus c'est moi qui me me les impose... Aucune raison de les respecter!  

vendredi 15 mai 2015

Un mois pour finir le tome 2...

Voilà, j'éprouvais tellement de difficultés à écrire de manière régulière que je m'étais dit que je pourrais bien prendre un congé sans solde d'un mois pour m'y atteler sérieusement. Tout le monde n'a pas la chance de pouvoir le faire. Moi si. J'ai un patron et des collègues compréhensifs, qui savent combien cette part de moi-même est importante. Et puis j'ai la chance d'avoir un bon job (et le salaire qui va avec) me permettant de le faire. J'ai donc pris le mois le mai. Je n'ai pas encore trouvé la cabane souletine de mes rêves pour exprimer ma créativité, alors je me suis exilé chez mes parents, en Charente, histoire de prendre un rythme (et le tenir).

Je me suis concocté un programme sympa : lever tôt (entre 7 et 8), petit-déjeuner frugal, sport (vélo, course à pied ou marche rapide), déjeuner avec des parts normales, sans me resservir, café (bis), puis écriture jusqu'au dîner (très frugal). Ensuite, série TV, lecture, et dodo autour de 23 heures. Pas vraiment ascétique comme je comptais le faire à la base (j'ai supprimé les apéros mais pas le verre de vin à table ni le pain, même si j'ai réduit), mais c'est déjà pas mal. Et puis j'ai déjà perdu 3 kilos en une semaine et demi!

Et donc j'écris. Les 10 premiers chapitres du tome 2 de L'infection sont relus, corrigés, finalisés (jusqu'à nouvel ordre - je précise que je n'avais pas écrit le 9). Je viens d'entamer aujourd'hui le chapitre 11, que j'ai temporairement intitulé "Plan de bataille". Pour ceux qui ont suivi mon périple aux USA en juillet 2013, j'ai finalement trouvé une utilité à mon excursion épique sur la Cottonwood Road, dans l'Utah, pour mon roman. C'est l'endroit idéal pour aller se perdre (casser sa voiture et mourir de déshydratation, les entrailles dévorées par les busards...), loin des affres de la civilisation. 

Bref, tout ça pour dire que je suis assez content de la tournure que prend le texte, même si, je le sais, il va falloir que je l'expurge de tous ses adverbes envahissants, de ses virgules mal placées, de ses fautes d'orthographe et de grammaire intempestives (liées au manque d'entraînement), de ses répétitions, voire de ses aberrations dans le fil du récit (ça m'arrive encore d'en retrouver à la relecture, ou d'en recréer en poursuivant l'écriture!). 
Ma chérie et mes enfants me manquent, mais bon... C'est un mal pour un bien. Je pense (j'espère) que tous l'ont bien compris.