dimanche 18 mars 2018

Dans la semaine du Pays basque (6-12 octobre 2017)

Un petit article que je viens de récupérer et qui est paru dans la Semaine du Pays basque entre le 6 et le 12 octobre 2017. Merci à Gilles Choury d'être venu couvrir la présentation du livre chez Xibero'Bio !


dimanche 4 mars 2018

L'eau ferrugineuse, oui !

Le Synopsis du T3 Sepsis est accroché dans mon bureau.
Aujourd'hui, mon collègue Simon s'est moqué (pour rire) de L'infection T2 Pandémie. Il m'a dit quelque chose comme  : "Ouiiiiii, quand on écrit des livres avec des éjaculations de saaaaang, tout çaaaaa, on fait pas son malin...
Je lui ai dit que j'avais pas le souvenir d'avoir écrit un truc pareil. Mais comme il a insisté (et que je n'ai jamais eu à douter de ses paroles jusqu'à maintenant) j'ai cherché dans le manuscrit en tapant juste "éjaculation" dans le moteur de recherche. Et paf ! Voilà sur quoi je tombe : 

"Avec un gargouillement diarrhéique, le sang gicla de l’artère aorte en trois ou quatre grosses éjaculations sur les parois des camping-cars, avant que le corps ne s’affaisse, mais la tête de l’agent spécial Gordon roula sous l‘habitacle du Four Winds."

Et là, j'ai réalisé que j'avais complètement oublié ce trait de poésie (bien que je m'en sache parfaitement capable). En fait, la quasi totalité de ce chapitre 16, intitulé "47.509172, -121.843366", je l'ai écrit sous l'empire de l'alcool. J'ai déjà expliqué ici que j'ai souvent besoin d'un ou deux petits verres pour "ouvrir les chakras". En fait, je pense que l'énergie que je dépense à retenir mes démons m'empêche de briser les murs qui contiennent mon imagination. Si je lâche mes démons, les murs s'écroulent et c'est l'explosion.
Le souci étant que je devrais m'en tenir à deux verres maximum. Mais parfois, et sans m'en rendre compte (ou en étant parfaitement conscient d'abuser, ça arrive aussi), je termine mes séances d'écriture à 5 ou 6 verres, avec les paupières qui se ferment toutes seules et l'impression d'être un génie littéraire... Le lendemain, je relativise, évidemment.

Mais s'agissant de cette phrase en particulier : elle ne m'avait pas choquée pendant la relecture. Elle est gore, certes et contient des analogies scatologiques et sexuelles, mais franchement, dans le cadre global du roman, ça ne m'avait pas choqué. Pris hors contexte, en revanche, c'est assez déroutant, j'avoue.

Que vais-je bien pouvoir inventer comme atrocité dans l'ultime tome de ma saga ? Tout est prêt pour recommencer à écrire. Ne manque plus que le temps... et de quoi acheter une bouteille de Jack Daniel's ^^

Un peu de presse sur les radios locales mauléonaises pour le T2

Voilà 6 mois que le Tome 2 de L'infection est sorti.
J'aurais mis un peu de temps à collecter ces enregistrements, mais les voici (cliquez sur les liens) :

Radio Mendililia.

Xiberoko Botza.

Bonne écoute ^^