dimanche 4 décembre 2011

L’infection : le tome 1 sort fin mai 2012 chez Astobelarra!

"L'infection T1 : Contage"
par Etienne H. Boyer
20 mai 2012 ed. Astobelarra -
Le Grand Chardon


Comme vous l’annonce le titre de ce billet, le tome 1 de “L’infection : Contage” sortira dans la collection Mozaïk aux éditions Astobelarra – le Grand Chardon à la fin du mois de mai 2012 (pour fêter la raclée intergalactique de Sarkozy aux élections présidentielles?).

Je ne vous cache pas que c’était mon souhait ultime depuis le début. D’ailleurs tous les membres d’Astobelarra le savent et n’ont pas réussi à m’en dissuader. J’ai envoyé mon manuscrit à d’autres éditeurs par pure forme, étant à peu près sûr qu’il ne serait pas accepté. D’abord parce que dans “ce métier” d’écrivain, il y a beaucoup d’appelés et très peu d’élus et ce n’est pas le dernier prix Goncourt qui me contredira sur ce point!

Ensuite, je considère que ce n’est pas tant la “qualité littéraire” de l’œuvre qui est remise en question par ces refus, que le sujet que je développe et la façon dont je l’amène, qui n’a pas dû plaire à tous ceux qui n’aiment pas prendre de risques. Les futurs lecteurs comprendront ce que je veux dire, lorsqu’ils auront le nez devant les pages du livre, patience ;-) 

De mon côté, je souhaitais mener mon projet comme bon me semblait, sans interférences externes et sans jugement à l’emporte pièce motivé par une déontologie hypocrite (masquant des ambitions financières ou des pressions politiques), ou encore le désir inavoué d’un éditeur voulant laisser son empreinte sur une œuvre qui n’est pas la sienne, plus que par réel soucis d’apporter des critiques constructives, susceptibles d’améliorer véritablement l’existant.

Ici, chez Astobelarra, on laisse les auteurs s’exprimer, aller au bout de leurs inspirations, de leurs envies. On corrige aussi les incohérences du récit ou lorsque la technique linguistique laisse à désirer, mais la liberté d’expression reste reine.

L’inconvénient, c’est le canal de distribution qui reste à échelle associative et qu’il va nous falloir inventer. Mais après-tout, mon but n’est pas de devenir le nouveau Stephen King ou de concurrencer Maxime Chattam. Je n’ai pas la prétention d’avoir leur talent et ne souhaite pas spécialement obtenir leur succès (ni même le centième de leur succès). Je veux seulement partager avec les autres les histoires que j’ai dans la tête. Et si mon livre se lit plus à la bibliothèque municipale qu’il ne s’achète, je ne serais pas déçu.
Sans fausse modestie : ma mission sur Terre aura quand même été accomplie. Et surtout, cela ouvrira grand la porte pour les deux autres tomes à sortir!

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