jeudi 8 septembre 2011

Beau Smart sur Facebook???

Beau Smart sur Facebook? Méfiez-vous des imitations ;-)
Aujourd’hui, par pur hasard, j’ai cherché Beau Smart sur Google. Et là, je suis tombé entre autres résultats (vers un acteur inconnu au bataillon notamment) sur un lien pointant sur Facebook
Par curiosité, je me suis demandé s’il y en avait beaucoup. Et là : hallucination! Mon intelligence artificielle détraquée a plein d’homonymes!
Ce qui m’a évidemment donné envie d’aller voir si les noms de mes autres personnages existaient aussi.
Mathilde Joubert, Patrice Bodin, Natalie Kay, Sébastien Régent, Eddie Earl… Tous en ont plusieurs, sauf Pascal Hastoy, le seul petit veinard à ne pas avoir de compte Facebook!
Ce qui m’amène, par association d’idées, à me poser une série de questions existentielles : reste t-il des noms “originaux” à inventer (hormis ceux conçus à partir de charabia)? D’ailleurs, reste t-il une seule idée originale à découvrir et exploiter? Avons nous fini d’inventer? Sommes nous capable de faire du neuf à partir de rien, ou sommes-nous condamnés à ne faire que réutiliser -de façon plus ou moins heureuse- l’existant souvent médiocre?
Je vais arrêter là, parce que sinon je vais déprimer et aller m’enfermer dans mon placard à boudin, jusqu’à finir sec comme un pruneau d’Agen oublié dans le bac à légumes.
Et je ne dis pas ça seulement parce que sur 7 grands éditeurs français contactés, 6 m’ont envoyé une réponse négative (le jour de mon anniversaire)…
Non je ne suis pas déçu ou malheureux! Comme je l’ai déjà dit ailleurs, il n’y a que 1% de manuscrits sélectionnés chez ce genre d’éditeurs! Beaucoup d’appelés, très peu d’élus, quoi! :D

* * * * *

Comme je l’ai signalé dans un article précédent, Pierre Gastéréguy a relu mon manuscrit, et m’a carrément fait une véritable  analyse technique et psychologique du livre sur 5 pages A4! L’ancien instituteur qu’il est a relevé quelques incohérences qui restaient, des erreurs de style aussi, mais m’a surtout ouvert des horizons insoupçonnés susceptibles d’enrichir l’histoire, dont je suis maintenant convaincu que je dois les utiliser d’une manière ou d’une autre dans le tome 1 de L’infection.
Encore de longues nuits de travail en perspective, avant d’enfin passer au tome 2…

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