dimanche 29 septembre 2024

UN NOUVEL ARTICLE DANS LE JOURNAL SUD-OUEST #LMOJ

Ce samedi 28 septembre, Marcel Bedaxagar a publié cet article au sujet de mon nouveau roman "Le Moment ou jamais" dans le quotidien régional SudOuest, édition Béarn et Soule et Pays basque. 
Comme toujours, si vous souhaitez le lire, il suffit de faire un clic-droit sur l'image et de choisir "ouvrir l'image dans un nouvel onglet". Cela vous donnera accès à la loupe.
Bonne lecture ! 

Ah oui, et si vous avez lu (et aimé) le livre, vous pouvez laisser une petite chronique sur le site de Babélio ici ! Merci ^^

UN NOUVEL ARTICLE DANS LA REPUBLIQUE DES PYRENEES #LMOJ

Mathilde Agor, correspondante locale de Soule à la République des Pyrénées est venue me rendre visite alors que je dédicaçais à la librairie Tandem, à Mauléon-Licharre, le samedi 14 septembre dernier. 

Il en a résulté cet article que je vous partage aujourd'hui. Cliquez sur l'image pour le lire, ou faites un clic-droit dessus, puis "ouvrir l'image dans un nouvel onglet". Vous pourrez ainsi utiliser la loupe pour l'agrandir, si nécessaire.



jeudi 12 septembre 2024

UNE INTERVIEW SUR XIBEROKO BOTZA #LeMomentOuJamais

J'ai été "passé à la question" par Inesa Decung sur les ondes de la radio souletine Xiberoko Botza. C'est toujours un exercice de style, pour quelqu'un comme moi, qui suis moyennement à l'aise à l'oral. J'ai du mal avec ma voix (notamment mes hésitations, mes intonations et mes tics, que je trouve insupportables) et je suis facilement déconcentré (par le moindre mouvement périphérique, le moindre bruit parasite). Du coup, j'ai souvent l'impression de dire de grosses conneries (alors que non, en fait). 


Le plus compliqué, c'est quand, malgré ta propension à tout prévoir, tu n'avais pas prévu qu'on te poserait LA question à laquelle tu ne sais pas trop quoi répondre. Et puis je fais beaucoup trop de digressions, j'en dis trop... Bref, parler à la radio, c'est pas trop mon truc, en fait (même si je l'ai fait pendant 4 ans sur Mendililia ; mais ce n'est pas pareil : tout était préparé, ou presque. Il y avait très peu de place pour l'improvisation). 

jeudi 5 septembre 2024

EN TOURNÉE CET AUTOMNE !


Bonjour à toutes et à tous ! 

Cet automne, je serai en rencontre/dédicaces pour la sortie de "Le Moment ou jamais" à plusieurs occasions : 

➡ le 7 septembre de 10h à 18h à l'espace culturel E. Leclerc d'Oloron-Sainte-Marie,

➡ le 14 septembre de 10h à 18h à la librairie Tandem à Mauléon-Licharre,

➡ le 21 septembre au forum des associations à Mauléon-Licharre,

➡ les 5 et 6 octobre au salon du livre Binaros de Bagnères de Bigorre,

➡ le 12 octobre au salon du livre d'Orthez,

➡ le 13 octobre au salon du livre de Touget (32),

➡ le 25 et 26 octobre au Festival Metal'o'ween d'Hendaye (avec Thomas Ponté),

➡ le 16 novembre à la librairie l'Escapade à Oloron-Sainte-Marie,

➡ le 14 décembre au marche de Noël de Lucq de Béarn,

La suite à la fin de l'année, pour les marchés de Noël !



lundi 5 août 2024

UNE COUVERTURE QUI MARQUE LES ESPRITS, MAIS QUI RESPECTE AUSSI LE DROIT !

La photo originelle et la couverture officielle de mon nouveau roman
"Le Moment ou jamais". Enfin jusqu'au 1er aout 2024...

Aujourd'hui, je vais vous raconter une petite anecdote (moyennement rigolote)... On va aborder le sujet de la création graphique. 

Je n'en parle pas beaucoup, mais mon vrai métier, celui qui me permet de remplir mon frigo, ce n'est pas romancier, mais communicant en entreprise. 
Et mon travail consiste essentiellement (mais pas que) à créer des visuels graphiques pour la communication interne et externe de mon employeur. 

Bref, je mets bénévolement ces compétences, acquises en plus de 22 ans de pratique professionnelle, au service de mon éditeur, Astobelarra

Je n'ai pas réalisé toutes nos couvertures et celles qui sont de moi ne sont pas toutes parfaites, loin de là, mais je trouve que je m'améliore avec le temps. À force de veille et de travail, je peaufine ma technique et il me semble que ça se voit. Mais je ne suis pas là pour me passer la brosse à reluire. Et encore moins aujourd'hui, à l'heure où je me suis rendu coupable d'une honteuse erreur de débutant...
Je vais vous parler de la genèse de la couverture de mon dernier roman, "Le moment ou jamais" (actuellement en précommande ici : http://tinyurl.com/LMOJ2024). 

LA TECHNIQUE


Vous aurez remarqué qu'elle ne laisse pas indifférent, entre ceux qu'elle rebute ("elle fait trop flipper", "on dirait un singe", etc.) et ceux qu'elle enchante ("elle est génialement horrible"). Pas de juste milieu. Alors comment ai-je procédé pour la créer ? 
Déjà, comme vous le savez si vous lisez ce blog (ou mes livres, on peut toujours rêver...), je fonctionne beaucoup par analogies ou par concepts. Les associations d'idées me viennent à l'esprit en rêve (pendant mon sommeil) ou en flash (rêve éveillé). Ça a été le cas pour l'histoire que je raconte dans ce thriller, mais également pour celles des précédents romans. 

Lorsque j'ai imaginé la trame de "Le Moment ou jamais", j'avais également en tête une vision très claire de ce que je voulais comme couverture. Je voyais le visage triste ou fâché d'un papy qui porterait les stigmates de la mort. Je me suis donc mis en recherche iconographique. Pour cela, je commence par fouiller sur des banques d'images payantes, pour me composer un "moodboard" qui me permet de suivre une ligne directrice. À ce moment-là, je n'achète pas de photos. Le moodboard est destiné à un usage strictement interne et donc non commercial. 

Ensuite, quatre possibilités s'offrent à moi : 
1/ soit je trouve l'image (ou les images) que je recherche, et alors je les achète (c'est ce qu'on a fait pour "Westerlies T1", de Constance Dufort, qui est une composition à partir de 5 images différentes achetées sur istockphoto), 
2/ soit je fais moi-même les photos (ou une partie des photos) qui composent le visuel (comme pour "L'infection T3"),
3/ soit je fais appel à un artiste (ça a été le cas pour "Les Sens hors des nerfs", de Thomas Ponté, mais d'autres livres aussi, comme "Marie n'a plus d'amis", de Caroline Herrera). 
4/ soit je trouve mon bonheur sur des bibliothèques d'images gratuites et libres de droit. Ce fut le cas pour "Mémoires vives" de Martin Koppe, mais également pour "Le Moment ou jamais".

MAUVAISE PIOCHE


J'ai trouvé l'image parfaite sur le site Pixabay.com en 2022. Je l'ai téléchargée et j'ai réalisé mes premiers visuels en suivant. En avril 2023, les "terms of service" de Pixabay ont changé, faisant apparaître cette notion : "Si le contenu contient des marques, logos ou marques reconnaissables, vous ne pouvez pas utiliser ce contenu à des fins commerciales en relation avec des biens et services. En particulier, vous ne pouvez pas imprimer ce contenu sur des marchandises ou d'autres produits physiques à vendre." Mais évidemment, je n'ai vu ces changements que fin juillet 2024. Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai tout à coup eu la présence d'esprit d'aller vérifier tout ça au dernier moment... Heureusement que je l'ai fait avant d'envoyer à imprimer !

J'ai illico contacté l'autrice de l'image, pour voir si on pouvait convenir d'un arrangement (je lui aurais acheté la photo sans problème), mais après plusieurs jours sans nouvelles, voici ce qu'elle m'a répondu ce matin : "Bonjour, désolée mais ce n'est pas possible, mon grand-père est décédé et j'essaie d'effacer cette photo depuis plusieurs mois maintenant. J'ai déjà contacté Pixabay à ce sujet, ils ne l'ont pas encore effacée, mais nous sommes dessus."  

Je comprends parfaitement qu'elle ne souhaite pas que l'image de son grand-père mort soit utilisée à des fins commerciales. Je pense que j'aurais eu la même réaction, même si, de mon plus strict point de vue, c'est bien dommage. Mais voilà, je ne suis pas friand de procès en justice. Notez bien que la photographe ne m'a pour l'instant formulé aucune menace en ce sens, mais je me suis quand même senti contraint de modifier ma couverture au tout dernier moment.
J'ai donc choisi l'option 1 : achat sur une banque d'images...

MISE À JOUR


Le plus compliqué, quand on a lancé sa campagne de com, c'est de devoir modifier ses créations graphiques. J'avais soit le choix de partir sur autre chose, soit celui de garder le concept originel et de changer l'image de base. J'ai choisi la seconde option. Pas que je manque d'inspiration pour créer quelque chose de nouveau, mais plus parce que j'aime ce concept, et aussi par flemme (J'ai gardé tous les fichiers de travail, la modification ne m'a pas pris plus d'une heure). Je suis donc allé chercher une image sur istockphoto en tapant "mean old man" dans le champ de recherche, et j'en ai choisi deux du même modèle, dans des positions différentes. 
Voici, à suivre, les deux essais. Lequel préférez-vous ? Le vilain tout plein 👿 ou l'ahuri effrayé 😱 ?



dimanche 28 juillet 2024

UNE INTERVIEW EXCLUSIVE SUR LE BLOG D'ASTOBELARRA

Cet entretien exclusif est paru sur le blog des éditions Astobelarra. Il me semblait opportun de le republier ici, sur mon propre blog :

Le nouveau roman d'Etienne H. Boyer s'apprête à sortir dans le courant du mois de septembre 2024, aux éditions Astobelarra. Mais le livre est déjà en précommande à 13€, frais de port inclus (ici :
https://tinyurl.com/LMOJ2024) jusqu'au 17 août prochain. À sa sortie, le livre fera 248 pages et sera au prix de 14€.
L'auteur a bien voulu nous en dire un peu plus sur ses projets et ce nouveau roman, intitulé "Le Moment ou jamais" : 

Astobelarra : Comment a été accueilli ton précédent roman, "Les Routes du crépuscule"?

Etienne H. BOYER : Super bien ! J'ai eu une majorité de très bons retours des lecteurs et lectrices. Beaucoup de gens m'en reparlent encore, plus de deux ans après sa sortie (la page 13 a visiblement marqué les esprits).
Et le roman a même été primé au salon du livre de Navarrenx en 2023. J'en suis très heureux ! Mais c'est presque de l'histoire ancienne. Aujourdhui, on parle de "Le Moment ou jamais !"

Astobelarra : Pourquoi ce titre, "Le Moment ou jamais" ?

Etienne H. BOYER : C’est une phrase populaire, un tic de langage qu’on entend partout et tout le temps. Je la ressens comme une injonction, en forme d’autohypnose, à faire les choses sans délai, à vivre à fond le moment présent quitte à le regretter amèrement plus tard. Je trouvais que ça faisait un bon titre pour un thriller horrifique ! Mon personnage principal, Roger Barbeau, en fait son mantra personnel pour accomplir sa destinée.

Astobelarra : De quoi parle ce nouveau roman ?

Etienne H. BOYER : Alors là, on change complètement de registre : c'est l'histoire de Roger Barbeau, un vieillard qui est sur le point de mourir. Il se rend compte qu'en devenant méchant, il pourrait vivre plus longtemps et en bonne santé. Alors il laisse le salopard qui dort en lui prendre les rênes de sa vie. Évidemment, tout cela a un coût, et plutôt élevé.

Astobelarra : C'est un roman d'horreur ?

Etienne H. BOYER : On peut dire ça, bien que ce soit un peu réducteur. L'épouvante est un prétexte pour aborder des sujets de société graves, comme la vieillesse, le déclin, la peur de partir trop tôt, ou de finir épave dans un Ehpad.

Astobelarra : C'est quelque chose qui t'effraie personnellement ?

Etienne H. BOYER : C'est surtout la façon dont notre société gère ses anciens qui m'effraie. Certaines de ces "maisons de retraite" sont des mouroirs. Des prisons pour pépés et mémés rendus inutiles et dangereux pour eux-mêmes. Il suffit de se rendre dans l'un de ces établissements pour s'en rendre compte et voir toutes ces personnes âgées laissées à l'abandon, l'œil vide et dodelinant de la tête comme des jouets cassés, sans autre perspective que d'attendre chaque jour que la mort les soulage de leur ennui. Personne, même le pire des salauds, ne mérite d'y finir ses jours. Cette marchandisation déshumanisée de la vieillesse m'horripile. Il y aurait tout un système, toute une société à revoir.


Astobelarra : Comment t'est venue l'idée de cette histoire ?

Etienne H. BOYER : C'est arrivé au lendemain de l'enterrement de ma grand-mère, en décembre 2020. Je me souviens que dans son sermon, le curé a dit quelque chose que j'ai interprété comme "ce sont toujours les meilleurs qui partent en premier". Ma grand-mère est partie à l'âge très avancé de 98 ans, a vécu les 14 dernières années de sa vie en Ehpad, et j'ai trouvé ironique qu'on puisse penser que c'était trop tôt pour partir. De là, je me suis dit que si les meilleurs partent les premiers, ceux qui restent c'est quoi, alors ? Et voilà comment on trouve un sujet de roman !

Astobelarra : D'accord, mais le roman ne raconte pas l'histoire de ta grand-mère, si ?

Etienne H. BOYER : Pas du tout. La grande majorité de la trame du livre provient de cauchemars que je fais la nuit. Parfois, il arrive qu'ils se suivent. Ce sont des rêves qui sont tellement forts, tellement réels (mais pas forcément réalistes) qu'ils en deviennent des souvenirs. Parfois, j'arrive à les assembler en une histoire cohérente. Ensuite, j'ajoute des personnages, des événements à l'arc narratif principal.
Souvent, je les élabore pendant mes trajets en allant au boulot. Je me mets derrière un camion ou un SUV et je n'en bouge plus jusqu'à ce que j'arrive à destination. Ça me permet de rouler de façon semi-automatique tout en imaginant les scènes que je vais ensuite écrire. C'est un genre d'autohypnose.
C'est flippant de savoir que vous pourriez me croiser sur la route, n'est-ce pas ? 😁

Astobelarra : "Le moment ou jamais" se déroule en Soule, tout comme tes précédentes œuvres... Pourquoi donc ?

Etienne H. BOYER : On ne parle bien que de ce qu'on connaît. Je vis en Soule depuis 1997. C'est à dire depuis plus longtemps que partout ailleurs où j'ai vécu, en comptant Cognac, la ville où je suis né, où j'ai grandi. La Soule, c'est le pays où j'ai choisi de vivre. Elle a été un révélateur : c'est ici que j'ai trouvé mes marques, compris qui j'étais et ce que je voulais faire de ma vie. La mettre en scène dans mes romans, c'est une façon de la remercier. Même si je ne décris pas exactement la Soule telle qu'on l'a connaît, mais plus un monde parallèle où le réel et le cauchemar le plus brut se mêlent. "Qui aime bien châtie bien", dit-on...

Astobelarra : Il y a ce "Polichinelle", un personnage onirique récurrent dans le roman. De quoi s'agit-il ?

Etienne H. BOYER : Au départ, je l'ai conçu comme une personnification de la démence sénile de Roger. Ce personnage excentrique permet de comprendre pourquoi Roger fait les choix qu'il fait. Mais finalement, au fil de l'écriture, j'ai décidé de brouiller les pistes afin que le lecteur ne sache pas s'il s'agit d'une simple hallucination liée à sa pathologie, d'un double maléfique qui devient tangible ou d'une véritable entité diabolique avec laquelle Roger a signé un genre de pacte faustien. Chacun décidera, en son âme et conscience...

Astobelarra : Et puis il y a Hervé, le chihuahua de Roger...

Etienne H. BOYER : Ah oui. Eh bien dans tous les dessins animés de Disney, Pixar, Dreamworks ou autres (même les trucs japonais), le personnage principal est toujours affublé d'au moins un "petit animal mignon", servant de faire-valoir au héros. C'est la recette immuable du succès de ces histoires. Bambi et Panpan, Shrek et l'âne, Wall-E et son cafard, Pocahontas et son colibri, Manny et Sid, Candy et Capucin, Sacha et Pikatchu... etc. En plus d'être un clin d'œil à tous ces personnages secondaires de dessins animés, Hervé, c'est un peu le miroir déformant de Roger. Son Pikatchu mais en négatif.

Astobelarra : Sans divulgacher le grand final de ce roman, y aura-t-il une suite, comme ce fut le cas pour la trilogie fantastique l'Infection ?

Etienne H. BOYER : Trop tôt pour le dire. Pour le moment, j'ai juste prévu une année sabbatique pendant laquelle je n'écrirai rien. La gestation et l'accouchement de "Le moment où jamais" m'ont littéralement épuisé. Je suis allé chercher très profondément des choses, une noirceur, que je ne pensais pas avoir en moi. Ou du moins, que je savais que j'avais mais que je ne voulais pas voir. Je me suis comme auto empoisonné l'esprit en écrivant ce roman, pour ainsi dire. Je compare l'expérience à celle de certains acteurs, tellement bien ancrés dans leur rôle qu'ils en perdent corps et âme.
Bref, je suis rincé et j'ai besoin de me purifier la tête, de ranger le costume de Roger dans un placard et d'en oublier son emplacement.

Astobelarra : D'autres projets en tête, sinon ?

Etienne H. BOYER : J'ai toujours quelques idées, bien sûr, mais rien d'assez mûr. Je me vois bien donner une suite à l'Infection : c'est mon projet le plus abouti à ce jour. Ou alors sortir un recueil d'anecdotes improbables et rigolotes que j'ai vraiment vécues, traitées comme des nouvelles... mais si ça se trouve, je vais carrément passer à un tout autre genre littéraire ; qui sait de quoi l'avenir est fait ? 


Quelques avis de primo-lecteurs sur "Le moment ou jamais", pour vous faire saliver :

Mayie : Bon roman ! J’irais même jusqu’à dire que c’est ton meilleur. Ton style s’affine vraiment et ça a de la gueule.  

Thomas : J’ai bien tripé ! T’as vu : je l’ai bouffé, ton livre !  

Ludivine : C’est un bon livre que tu tiens là !  

Nathalie : Je voulais te dire que j’adore la couverture, elle est absolument horrible, géniale ! Je te félicite d’avoir, une nouvelle fois, mené à bien une aventure littéraire, bravo, bravo, bravo !  

Marjorie : C’est ton meilleur : il est plus léché au niveau de l’écriture et la psychologie du personnage est très intéressante.   

Caroline : Niveau écriture et intrigue, il est très bien mené. Tu peux en être fier ! 

Karine : J'ai adoré. Je l'ai littéralement dévoré et j'étais tellement happée par l'histoire que j'avais du mal à lâcher. En toute sincérité, ça fait longtemps que je n'ai pas été autant emballée par un roman !


RAPPEL : pour précommander le roman, c'est par ici : https://tinyurl.com/LMOJ2024)


dimanche 21 juillet 2024

Le moment ou jamais en précommande, ici et maintenant !


J'ai profité de ces quelques semaines de repos forcé (je me suis cassé le poignet...) pour terminer les corrections de mon nouveau roman, "Le Moment ou jamais". Le livre est fin prêt et le BAT est même en cours de production. Je devrais le recevoir dans le courant de la semaine, si tout va bien ! 

Et comme je voudrais que le roman sorte pour les salons du livre de l'automne, j'ai mis en ligne une campagne de souscription : http://tinyurl.com/LMOJ2024. Cette campagne, qui durera jusqu'au 17 aout, vous permet de précommander le livre à 13€ au lieu de 14€ le jour de sa sortie ; vous recevrez votre exemplaire dédicacé chez vous (ou en main propre, selon le cas) et les frais de port sont inclus. Le nom des souscripteurs figurera dans les remerciements du livre à la page 241.*

Voici les détails techniques que je peux d'ores et déjà vous communiquer : 

ISBN : 9791090126459 - Nombre de pages : 248 - Prix unitaire : 14€ - Sortie officielle septembre 2024.

* Beaucoup d'entre vous pourraient être tentés de zapper la souscription pour prendre le livre au moment de sa sortie. "Je préfère te le prendre à toi, tu auras un euro de plus, etc..." Sachez que même si vous me le prenez à moi, l'argent va directement à l'association : je ne touche pas de royalties sur mes œuvres littéraires. C'est un choix personnel auquel je me suis toujours tenu, et ce depuis la publication de mon premier livre. 

Pourquoi je fais ça ? 

1/ Je ne suis pas sensible à l'appât du gain. Et j'ai déjà un employeur qui me paie pour mon travail. Ceci n'est pas une critique à peine voilée à l'endroit de mes confrères auteurs. Chacun fait ses choix et tous sont respectables ; le mien, c'est de laisser tout à mon éditeur. 

2/ Et puis même si je vends mes livres, les sommes gagnées seraient tellement dérisoires que ça me mettrait mal à l'aise (lire ici pour info). 

3/ Je n'écris pas pour gagner de la thune, mais pour mon plaisir personnel (et le vôtre aussi, j'espère). 

4/ Le fait de savoir que mes livres seront lus (et peut-être même appréciés) par des générations d'êtres humains bien après mon passage sur cette Terre suffit à mon bonheur. Un peu de moi restera et c'est tout ce qui compte, même si c'est très vain.

5/ Cet argent récolté, c'est aussi pour que les autres auteurs de l'association (qui sont tous nettement plus talentueux que moi), puissent sortir leurs propres œuvres dans des conditions acceptables. Je ne le fais pas par esprit de sacrifice, mais parce qu'ils le méritent. Parce que cette maison d'édition associative le mérite. 

Donc voilà, si vous voulez vraiment nous aider à continuer, c'est en répondant positivement à nos appels à souscription. Avec HelloAsso, vous avez la garantie que toutes les sommes récoltées iront à Astobelarra, et que toutes les souscriptions seront honorées. Personne n'a eu à se plaindre jusqu'à aujourd'hui ! Merci de votre attention et n'oubliez pas : http://tinyurl.com/LMOJ2024 !!!