Toujours dans le but de rendre mon récit
le plus crédible possible, je me documente sur tous les sujets que je
vais aborder. Notamment ceux -techniques- qui ne souffrent pas la
médiocrité. L’un des thèmes dont je vais abondamment parler dans le tome
2 de L’infection, c’est celui du tueur en série (à ne pas confondre avec le tueur de masse,
autre sujet très intéressant dont je vous entretiendrai
ultérieurement). Je ne peux pas me contenter des idées reçues en la
matière. Il me faut l’avis d’un professionnel. Je ne vais quand même pas pousser jusqu’à aller cuisiner Ed Kemper dans sa cellule à la prison d’état de Vacaville (CA), mais “si tu ne veux pas parler à Dieu, adresse-toi plutôt à ses saints“, aurais-je envie de détourner
J’ai donc décidé de (re)lire l’excellent documentaire de Stéphane Bourgoin “le livre noir des serial killers“, afin de mieux comprendre le fonctionnement interne de ces prédateurs sociopathes; sachant pertinemment que -s’il y a effectivement des points communs et des modus operandi récurrents entre chacun des six cas étudiés en profondeur dans le livre- il n’y a pas de recette miracle pour faire “un bon” tueur en série. Il faut bien se dire qu’avec ce genre de personnage, tout (ou presque) est possible…
Tout ça pour dire que ce livre ne contredit absolument pas l’idée que je m’étais faite de Gros-Sam Bonini, bien au contraire. Je vais même pouvoir peaufiner certains aspect psychologiques
de cet anti-héros, qui restaient jusqu’alors encore un peu flous dans
ma tête. Je précise, pour ceux qui auraient eux aussi envie de lire ce
livre carrément “possédé” et passionnant, qu’il n’est vraiment pas à
mettre entre toutes mains!
Mieux vaut être un minimum équilibré. Un homme averti en vaut deux, il parait…
Mieux vaut être un minimum équilibré. Un homme averti en vaut deux, il parait…
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