Comme je disais dans un précédent billet, je me suis mis en contact (au culot) avec des habitants de Concrete WA. J’ai commencé par les secrétaires de mairie dont j’ai trouvé l’adresse mail sur le site officiel de l’hôtel de ville. Ces dames m’ont aiguillé vers Jason Miller, adjoint au maire et rédacteur en chef (propriétaire) du mensuel The Concrete-Herald, qui lui, m’a envoyé le livre “So they called the town Concrete” (”Alors ils appelèrent la ville Béton”, en français), et m’a mis en relation avec John Boggs, qui lui, répond à toutes mes questions. Non je ne radote pas : je résume les 15 derniers jours :-D
J’ai commencé à lire ce livre avec un
grand intérêt. C’est marrant, c’est exactement ce que je pensais que ce
serait : un mélange entre le guide historique, touristique, industriel
et culturel local, rédigé dans une langue plutôt journalistique parfois
avec humour, mais en tout cas assez facile à comprendre pour un lecteur
français de mon niveau. Je lis avec mon Harrap’s Dictionary
en second livre de chevet, mais bon… Tout ça me rappelle avec une
certaine nostalgie mes deux années de fac d’Anglais, il y a… 20 ans!
(Enfin, la première année surtout, parce que la seconde, j’ai moins de
souvenirs ;-))
Trève de plaisanterie, si je devais comparer avec un bouquin souletin, je dirais que c’est un mix parfait entre “Autrefois la Soule” pour ses photos typiques “des temps anciens”, en noir et blanc, et “Pays de Soule” pour le côté anthropologique; deux livres édités par l’association patrimoniale de Soule Ikherzaleak.
Trève de plaisanterie, si je devais comparer avec un bouquin souletin, je dirais que c’est un mix parfait entre “Autrefois la Soule” pour ses photos typiques “des temps anciens”, en noir et blanc, et “Pays de Soule” pour le côté anthropologique; deux livres édités par l’association patrimoniale de Soule Ikherzaleak.
En tout cas, cette conquête du Nord-Ouest des USA, racontée par Charles M. Dwelley, l’ancien propriétaire du Concrete-Herald,
est des plus croustillantes. Exactement ce dont j’avais besoin pour
m’immerger en ces terres qui me sont inconnues, et comprendre comment
s’est mise en place cette communauté, où tout le monde se connait depuis
des générations, tout comme ici en Soule. Ne vous méprenez pas! Je ne vais pas raconter son histoire dans le tome 2 de L’infection.
C’est juste de la documentation, et j’ai besoin d’un maximum
d’information pour pouvoir faire le tri, y voir plus clair dans les deux
chapitres que je vais consacrer à cette petite ville américaine et ses
environs.
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