Vue du Shuksan Lake trail (Photo John Boggs) |
Vous l’avez lu dans le titre : je viens de terminer deux chapitres du tome deux de L’infection qui se déroulent dans (et aux abords de) la petite ville du nord de l’Amérique, Concrete (Wa), dont je vous ai déjà entretenu il y quelques mois.
Cette partie de l’histoire se passe dans la première moitié du livre.
J’étais plein de bons sentiments, tout feu tout flamme, je voulais
m’imposer une certaine rigueur (c’est à la mode) dans ma façon d’écrire,
mais en fait, je n’ai pas pu.
Comme je suis en attente de réponses des
éditeurs auxquels j’ai envoyé le manuscrit du tome 1, je n’arrivais pas
à démarrer. Il me fallait un truc pour amorcer la pompe, quelque chose
qui me donnerait envie de me lancer. Une fois que c’est parti, après, je
sais que le reste va suivre. Mais sans cette accroche, je partais pour
une longue et désespérante traversée du désert. Alors comme j’avais tous
les éléments du passage qui se déroule à Concrete (grâce à John Boggs et Jason Miller, en particulier) je me suis dit que je pourrais commencer par ça. Et voilà, c’est pondu!
Bon, je ne dis pas que c’est du
définitif -parce que je me connais : j’ai toujours des trucs à rajouter
en dernière minute- mais j’ai pas loin de 30 pages (format A5) rédigées,
avec des cliffhangers de toute beauté! J’ai pris un immense plaisir à écrire ces deux chapitres que j’ai appelés Natalie, et Baker Lake (les titres sont non-contractuels).
J’ai envie de les traduire en anglais
pour les envoyer à mes deux sources précitées, histoire de voir avec eux
s’il n’y a pas des incohérences au niveau “du décor”, mais franchement,
je crois que j’ai trop perdu pour m’atteler à pareille tâche. Et Google
Translate, ben bof…
Je demanderais bien à mon père (prof d’anglais à la retraite), s’il ne voudrait pas me le faire, en fait
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