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L’auteur(e) de ce site excelle dans l’art de vulgariser la science via
le dessin de BD. Elle a l’art de savoir répondre aux grandes questions
(à la con) que tout le monde se pose, sans jamais obtenir de réponse
intelligible. C’est souvent très drôle, bien documenté et passionnant.
Pourquoi je vous en parle dans mon blog? Tout simplement parce que le
sujet qu’elle a développé cette semaine, c’est la robologie, et que, comme vous le savez (ou pas), c’est le thème principal de L’infection!
Elle y explique que la technologie n’est pas assez avancée pour que l’homme ait à craindre une monstruosité comme Terminator.
Le robot tueur qui débarque chez vous pour vous exécuter, ce n’est pas
encore pour demain. Elle oublie juste de dire que dans l’histoire, Terminator
vient… du futur! Et là, c’est effectivement de la science-fiction
(jusqu’à preuve du contraire : on ne sait pas encore “voyager dans le
temps”).
En “réalité”, dans l’histoire, c’est Skynet, le logiciel qui est censé créer en série le premier Terminator (incarné par Arnold Schwarzenegger) dans 40 ans qui est notre contemporain.
En “réalité”, dans l’histoire, c’est Skynet, le logiciel qui est censé créer en série le premier Terminator (incarné par Arnold Schwarzenegger) dans 40 ans qui est notre contemporain.
Et là, on ne rigole plus… Imaginons un
instant qu’un programme malveillant (un genre de virus informatique, si
vous voulez) s’empare d’Internet? Ce serait alors tout le savoir humain
qui serait à portée de cette entité, capable d’apprendre, de s’adapter,
d’extrapoler, d’évoluer et de se multiplier, comme tout bon virus. Il
aurait alors virtuellement accès à tout : de votre recette préférée du Cinnamon roll
à votre compte en banque, en passant par votre webcam, mais aussi Wall
street, votre casier judiciaire ou encore le petit bouton rouge qui
déclenche l’envol des missiles à tête nucléaire (c’est ce qui arrive
dans Terminator 3)…
A l’heure ou tout (ou presque) est informatisé, automatisé, archivé sur des serveurs connectés au World Wide Web, et si Skynet, ce n’était pas pour demain, mais bien pour aujourd’hui?
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