Ça fait quelques jours, déjà, que mon collègue graphiste Pette “Ham” Etcheverry m’a proposé de réfléchir sur un autre concept de couverture pour L’infection.
Selon lui, celle que j’ai faite (et que vous pouvez admirer ci-contre)
serait un peu trop descriptive quant au contenu du livre.
Voici en gros son argumentaire : “Moi, quand je vois ça, j’ai tout de suite une idée bien précise (et peut-être préconçue) du sujet que tu développes de ton livre, et c’est dommage : en guidant ainsi le lecteur, tu ne lui laisses pas la possibilité d’imaginer. Il faudrait un visuel qui en dise moins, plus léger”.
Voici en gros son argumentaire : “Moi, quand je vois ça, j’ai tout de suite une idée bien précise (et peut-être préconçue) du sujet que tu développes de ton livre, et c’est dommage : en guidant ainsi le lecteur, tu ne lui laisses pas la possibilité d’imaginer. Il faudrait un visuel qui en dise moins, plus léger”.
Si je traduis : il vaut mieux que le lecteur en sache moins avant de découvrir le texte, que ce soit plus énigmatique, plutôt qu’il se fasse une idée faussée du contenu, qui au final pourrait le décevoir.
Pas faux… En même temps, cette image a été le fil rouge de
toute la période de création de ce bouquin. Quelque part, je me dis que
si j’avais fait autre chose, il est fort probable que le résultat final
du texte aurait été différent. Donc en quelque sorte, cette couverture
(que j’ai fabriquée tout seul, avec mes petits doigts, et dont je suis
fier) est un symbole, une muse, et j’aurais du mal à m’en passer! Idem à propos des illustrations dont j’avais très envie…
Voici le visuel (temporaire) que me propose Pette. Je le trouve excellent, mais vous, qu’en pensez-vous?
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