Depuis quelques jours, j’hallucine : je reçois un tas d’alertes Google sur les mots-clés “Mauvais berger“! Presque j’étais trop content, mais…
En fait, ça n’a rien à voir (ou presque) avec mon récit autobiographique illustré, il s’agit du nom d’un récent reportage radiophonique québecois au sujet d’une fourrière canadienne privée nommée le “berger blanc”, autour de laquelle flotte actuellement une aura de scandale. On y dénonce la maltraitance envers les bêtes, l’euthanasie presque systématique des animaux recueillis, etc.
Bref, rien de bien joli joli…
Bref, rien de bien joli joli…
Mais si par hasard, vous avez lu “Mauvais berger!“, je pense que vous aurez compris que ce sinistre fait-divers
et mon histoire (vraie) comportent des similitudes, et que c’est aussi
pour cette raison que j’ai choisi ce titre sibyllin (on m’a souvent
reproché ce choix), mais ô combien judicieux!
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