La mort de Weblin, remplacé par Club Cooee, un autre univers virtuel contrecare temporairement mes plans de rédaction de "L'infection" |
J’ai eu la méchante surprise de lire ce mail ce week-end…
D’après ce que je lis et traduis là, Weblin (vous savez, le petit avatar qui circulait au bas du blog, que vous pouviez faire parler, etc.) va disparaître dans les jours qui viennent.
A priori, malgré un bon développement, le service a été déclaré insolvable, et devrait fermer sous peu…
Pour le commun des mortels (et en particulier les allergiques à toute innovation technologique), Weblin, c’était encore un gadget inutile, bouffeur de temps, de fric et de vie sociale.
Mais pour ceux qui -comme moi- croient en l’avenir du web, et y voient -entre autre- un moyen “propre” de réduire l’espace et les barrières (physiques, culturelles, etc.) entre les êtres humains, Weblin était une application ingénieuse et d’avenir, à la croisée des chemins entre le web classique des messageries instantanées, et les univers virtuels en 3 dimensions de type Second Life.
Mais pour ceux qui -comme moi- croient en l’avenir du web, et y voient -entre autre- un moyen “propre” de réduire l’espace et les barrières (physiques, culturelles, etc.) entre les êtres humains, Weblin était une application ingénieuse et d’avenir, à la croisée des chemins entre le web classique des messageries instantanées, et les univers virtuels en 3 dimensions de type Second Life.
Mais ce qui me touche tout particulièrement, c’est que la mort annoncée de Weblin contrecarre sérieusement mon plan de rédaction de “L’infection“,
puisque j’y faisais (plus qu’)allusion dans le scénario, ayant même
obtenu les autorisations d’utilisation du nom par les dirigeants de
l’entreprise allemande, créatrice et distributrice de l’application!
Bien sûr, rien n’est foutu : si Second Life devait disparaître demain, “L’infection”
serait tout de même écrite, quoi qu’il arrive. En dehors de ça, je vous
avouerai que cette disparition inattendue me fait comme un petit
pincement au cœur…
Au risque de faire bondir les fans (qui
n’y verront certainement aucun point de comparaison), la mort d’un
univers virtuel, comme celle de Michael Jackson, ça me rend tout chose!
Il m’en faut peu, hein?
Il m’en faut peu, hein?
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