Introducing : Gros-Sam Bonini! |
“L’infection” avance toujours à son rythme (En gros, j’écris
quand je vais aux WC, au boulot. Ce qui fait dire à mes collègues
narquois que “ce sera certainement un livre de merde!“).
J’en suis actuellement à un chapitre “à
sensations fortes” qui se déroule dans Second Life, avec l’arrivée d’un
nouveau personnage : “Gros-Sam Bonini“.
“Gros-Sam“, c’est le personnage que vous voyez en bas à gauche, sur ce draft qui date de, euh… 1998!!! Le personnage, lui, date de 1992!Il est tiré d’un scénario de Bande Dessinée fantastico-comique que mon pote Pascal Mercier rédigeait à partir d’un synopsis que je lui avais fourni, et que j’avais intitulé “Doc Mortem“.
Ce qui est amusant, c’est que comme pour “L’infection“, toute l’histoire m’est apparue en rêve, par étapes, pendant mon sommeil.
En résumé, c’était celle d’un savant fou (le docteur Mortemuse) qui réveille un mort pour en faire une machine à tuer pour l’armée. Mais malheureusement, la créature lui échappe, et commet des meurtres sanglants. Bien sûr, la police s’en mêle, et le héros (le policier Marco Tenado) est capturé par le savant, puis à son tour transformé en monstre. Sauf que lui, comme il était vivant, il a conservé une part d’humanité. Il devient alors “Killer-Butterfly“, un anti-héros violent qui va réussir à neutraliser la première créature, puis un autre monstre “Gros-Sam” (qui n’a pas subit de transformation, génétique, lui, mais dont l’histoire suit les tribulations en parallèle du fil principal), et enfin son “père” le doc Mortemuse, qui s’est injecté le sérum amélioré, devenant à son tour une monstruosité.
En résumé, c’était celle d’un savant fou (le docteur Mortemuse) qui réveille un mort pour en faire une machine à tuer pour l’armée. Mais malheureusement, la créature lui échappe, et commet des meurtres sanglants. Bien sûr, la police s’en mêle, et le héros (le policier Marco Tenado) est capturé par le savant, puis à son tour transformé en monstre. Sauf que lui, comme il était vivant, il a conservé une part d’humanité. Il devient alors “Killer-Butterfly“, un anti-héros violent qui va réussir à neutraliser la première créature, puis un autre monstre “Gros-Sam” (qui n’a pas subit de transformation, génétique, lui, mais dont l’histoire suit les tribulations en parallèle du fil principal), et enfin son “père” le doc Mortemuse, qui s’est injecté le sérum amélioré, devenant à son tour une monstruosité.
Pascal et moi étions censés faire les
dessins ensemble, (moi les gros plans, lui les décors) et j’avais même
fait quelques mises en situation (ici, là, là, encore là, par ici, et là!),
et puis bon… Je suis parti à l’armée, pendant que lui passait son
concours pour être prof d’histoire-géographie. La vie nous a plus ou
moins séparés, même si on se revoit toujours avec plaisir, de temps en
temps (au moins sur Facebook)!
Lorsque je me suis mis à réfléchir à des
personnages pour peupler mon roman (notamment la partie qui se déroule
dans Second Life), Sam Bonini (à peu près tel que je l’imaginais lorsque
j’étais encore à la fac) m’est apparu comme LE rôle secondaire que je
devais exploiter. Un gros slasher encagoulé, porteur d’immenses couteaux de boucher, et collectionneur de têtes réduites fabriquées maison!
Bien sûr, il a fallu que j’adapte et que je modifie mon bonhomme en fonction de son “environnement naturel” digital, que je lui créée une identité dans notre réalité, etc. Mais sachez que ce personnage très “folklorique” pourrait bien réapparaître dans les deux autres tomes de “L’infection“.
Affaire à suivre
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