Je me permets de reproduire intégralement ici le post Instagram de Myriam Chazalon, Aka Séléné Peel, du blog #Satanboucheuncoin :
"Les routes du crépuscule" - Etienne H. Boyer, auteurChacun, dans la lecture, vient chercher quelque chose de différent : s'amuser, voyager, s'évader... Moi j'aime être bousculée, j'aime partager l'histoire des personnages, cheminer à leur côté, vibrer, aimer, souffrir avec eux... J'aime la sensation de faire partie de l'histoire : d'être lectrice actrice...Quand je rentre dans une histoire, si elle me happe des les premières lignes, j'ai du mal à poser le livre car j'ai l'impression d' abandonner les personnages à leur sort : ils sont coincés là et moi, je peux m'affranchir de leur vie en un claquement de page. Quand je suis impatiente de reprendre ma lecture, de les libérer de l'étreinte implacable du marque-page que je leur impose. Quand lorsque le dernier mot est écrit, je continue à tourner les pages en espérant qu'ils soient là encore un peu, juste un chapitre ou deux. Alors, je sais que j'ai aimé ce que j'ai lu, intensément, et que pour quelques temps, ils vont cruellement me manquer.Les routes du crépuscule c'est tout ça... C'est un questionnement intérieur, c'est une leçon de vie, c'est une autre façon de voir les choses, c'est une introspection, un arrêt, un recommencement, un renoncement, un espoir...Et, si, en passant la porte de cette vieille bicoque au bout du monde, la vie t'offrait une seconde "chance"? Si au crépuscule, tu prenais d'autres routes pour marcher vers une autre lumière ? Crois-tu que tu en ressortirais meilleur ? Crois-tu que tu en serais plus heureux ? Crois-tu que tu en ressortirais indemne?Pas si simple crois -moi!Par contre, rends toi service ou rends service à un être qui t'est cher : offre-toi ou offre lui ce roman d'Etienne H. Boyer aux éditions Astobelarra : bien plus qu'un cadeau, c'est un message, une déclaration à soi-même aux autres, à ceux qui ne se regardent plus, qui se sont aimé et qui s'aiment mal avec le temps qui passe inexorablement...Etienne, juste merci.
Merci à toi pour cette chronique qui m'a presque mis la larme a l'œil et qui m'a permis de me rappeler pourquoi j'écrivais. Ton texte redonne du sens à mon travail, à ce pourquoi j'existe. 💗💗💗
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