Maaatch, c’est un de mes copains de Mauléon-Licharre. Je lui ai parlé
de mon bouquin (”L’infection”, vous vous rappelez?) depuis le tout
début, lorsque j’ai commencé à en écrire le plan du tome 1, fin 2008. Il
était juste qu’il soit un des premiers à lire le texte intégral en
avant-première. Voici ce qu’il en a dit sur son propre blog :
Eh oui, Mr
Boyer m’a fait l’honneur de me faire lire son livre en avant première,
alors je l’ai goulument dévoré. Je signe mon retour sur ce blog depuis
un long moment avec l’ouvrage sus-cité.
Je vais
aller droit au but. C’est un bon livre, un bon roman de
science-fiction, un peu futuriste dans les faits, contemporain de par
les dates utilisées dans le roman. Je l’ai lu quasiment d’une
traite, avec plaisir, et l’envie d’aller au bout.
Les
personnages sont un peu basiques, mais faciles et intéressants à suivre,
les lieux, amusants à découvrir en tant que souletin (eh oui, l’action
se passe dans nos vertes vallées…), et l’histoire assez bien
conçue.
L’écriture,
c’est de l’Étienne tout craché, bien écrit, pas de manière pompeuse,
simple et efficace, mais avec quelques belles phrases bien tournées.
Des passages un peu crades, tantôt porno-trash, tantôt gores ( et
oui, l’auteur aime les bons vieux films de zombies….), mais passent
bien dans l’ensemble.
Quelques
points négatifs tout de même ! Eh oui, je vais faire une vraie critique
! ^^ : En voulant faire un truc du coin, en mettant des noms et
prénoms locaux, Étienne a voulu bien faire, mais en ne mettant que
des Antton, Xabi, Beñat, et autre Maddalen, je trouve que ça fait un
peu caricature de campagne isolée, de monde à part…. Mettre Sickolas
Narkozy aussi, je trouve que ça n’apporte rien au livre, et il
aurait pu mettre un président, ou un nom de président quelconque…
Enfin, c’est pour la blague, et le plaisir de le maltraiter…
Ensuite,
un truc important, comme le bogue mondial est écrit en quelques petites
lignes, alors que c’est un truc important, alors que la description de
l’ile SL de l’héroïne, intéressante mais pas capitale, prend plus de
place, il y a deux ou trois passages que je trouve disproportionnés….
Enfin, je chipote, et c’est un bon ouvrage, bien torché, et il me tarde de pouvoir lire la suite !! Good job Boyergaray !
Donc
voilà, ça m’a fait bien plaisir de lire cette première chronique
publique, fut-elle écrite par un ami (qui m’a ménagé, à n’en point
douter). Je dirais que la partie où il critique le livre est celle que
je vais retenir, pour la bonne et simple raison… qu’il a raison sur
plusieurs points. Disons que j’étais déjà parvenu à ces conclusions tout
seul, mais que j’avais occulté (par flemme : marre de lire et relire tout le temps le même manuscrit! J’ai l’impression de faire du sur-place.).
C’est toujours bon de poser des mots là où ça coince : ça permet parfois de rectifier le tir et d’avancer.
Je
ne dis pas que je vais tout réécrire à chaque fois que quelqu’un mettra
le doigt sur un truc qui cloche (parce que dès fois, justement, c’est
fait exprès que ça ait l’air bancal ou caricatural), mais quand il
faudra corriger (pour des raisons de cohérence, essentiellement), je le
ferai.
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