Un mois et demi après la sortie du tome 1
de L’infection, je commence à peine à recevoir quelques retours de
lecteurs, mais aussi de gens qui n’ont pas lu le livre (et ça c’est
quand même formidable, lol).
Parmi les remarques des gens qui ont
pris la peine de le lire, beaucoup m’ont demandé de m’activer pour
sortir la suite, ce que je me force à prendre de la façon la plus
positive possible : cela veut dire que le livre a plu. Je renvoie
néanmoins les plus agressifs sur cette réponse parfaite de Neil Gaiman à un internaute un peu trop exigeant…
Les non-geeks m’ont fait part de leur
difficulté à lire la première partie (dans laquelle je mets en place les
personnages et l’environnement particulier de l’intrigue), trop
“technique” à leur goût et ce même malgré la présence du lexique
détaillé en fin de roman. Mais tous ont convenu qu’une fois ce passage
dépassé, ils ne pouvaient plus lâcher le livre. Je le prends aussi très
positivement : la prochaine fois, je tacherai de prendre davantage en
compte le lecteur non spécialiste. D’ailleurs, ce sera le cas par
défaut, puisque l’histoire ne se passera pas dans un obscur monde
virtuel 3D, mais dans le monde réel.
Une personne a souligné l’aspect
sanglant et parfois scatologique du récit. J’ai bien senti que ce
n’était pas sa tasse de thé (héhé). Plusieurs autres se sont demandées
ce que je pouvais avoir dans la tête pour écrire des trucs pareils. “Il ne sert à rien de rechercher le monstre car il vit à l’intérieur de chacun d’entre nous…“, c’est ma réponse, et c’est une phrase citée du tome 2 (en cours d’écriture).
Pour le reste, et bien j’attends vos commentaires sous cet article !
PS : ceux d’entre vous qui vivent en Soule et qui ne sont pas en fonds peuvent emprunter “L’infection T1 : Contage” à la bibliothèque de Mauléon-Licharre. Idem pour le “Mauvais berger!“
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