Vous vous rappelez ce billet, dans lequel je disais que le temps passait plus vite sur SL que dans la vraie vie, et cet autre, dans lequel je parle des sites réels qui ont inspiré les lieux où se déroulent l’action de L’infection?
Et bien figurez-vous que la vraie vie vient de me faire mentir! Les
ex-bureaux de GEMA WM ont été entièrement rasés, et seront
vraisemblablement remplacés par des parkings! Les boules!!!
Enfin “les boules”… Pas tant que ça!
Mais je pense que ça m’aurait vraiment posé un problème si je n’avais
pas déjà écrit les chapitres qui s’y déroulent. Comme quoi, j’ai
peut-être été directement inspiré par le grand Manitou en faisant les
choses dans le désordre, finalement! Me connaissant, j’aurais
probablement été freiné dans le processus rédactionnel du livre
simplement à cause de cet évènement!
Cette destruction -arrivée de manière un peu inattendue- n’est pas surprenante outre mesure car ce bâtiment était vraiment vieillissant (pour ne pas dire pourri), mais ça fait un choc quand même, d’autant plus lorsqu’il fait partie de notre passé (relativement) récent (en comptant les périodes d’intérim, j’y ai travaillé presque 3 ans dans cette usine)!
Cette destruction -arrivée de manière un peu inattendue- n’est pas surprenante outre mesure car ce bâtiment était vraiment vieillissant (pour ne pas dire pourri), mais ça fait un choc quand même, d’autant plus lorsqu’il fait partie de notre passé (relativement) récent (en comptant les périodes d’intérim, j’y ai travaillé presque 3 ans dans cette usine)!
Dans le livre s’y déroule une scène clé
de “réunion préparatoire à un licenciement pour faute lourde” assez
inhabituelle. Et je dirais d’ailleurs : fort heureusement!
Cette scène - qui va rester dans les annales - est inspirée d’une base vécue, et rehaussée d’autres choses totalement inventées (je n’ai encore jamais été mis à la porte d’une quelconque entreprise, et je n’ai jamais non plus “violenté” personne – croisons les doigts et touchons du bois rond)…
Cette scène - qui va rester dans les annales - est inspirée d’une base vécue, et rehaussée d’autres choses totalement inventées (je n’ai encore jamais été mis à la porte d’une quelconque entreprise, et je n’ai jamais non plus “violenté” personne – croisons les doigts et touchons du bois rond)…
;-)
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