Trente-trois, c’est le nombre d’exemplaires de “Mauvais berger!”
vendus à ce jour par l’Espace Culturel E. Leclerc à
Oloron-Sainte-Marie. Dans l’absolu, 33 c’est rien. Que dalle,
insignifiant…
Sauf que des “Mauvais berger!“, il n’y en a eu que 300 d’édités en tout. L’espace Culturel E. Leclerc d’Oloron-Sainte-Marie a donc vendu à lui seul plus de 10% de la production de ce livre! Et là, le chiffre 33 prend tout de suite une autre dimension… Surtout lorsqu’on sait qu’une nouvelle commande de 10 exemplaires vient de nous être faite!
Bien sûr, comme il s’agit -entre autre- d’une librairie, Astobelarra leur verse 30% de ses gains sur chaque livre vendu. En gros, L’espace Culturel gagne 3€ sur la vente d’un “Mauvais Berger!“.
Astobelarra, quant à elle, ne gagne donc que 7€, desquels il faut
retrancher aproximativement 1.5€ de frais de production. Quant à moi,
l’auteur, je ne touche évidemment pas un radis, puisque j’ai cédé mes
droits à mon éditeur pour cet ouvrage. Mais ce n’est pas le plus
important, dans mon propos d’aujourd’hui.
Ce que je voulais dire, c’est que même
si le dépôt vente fait perdre de l’argent à Astobelarra (par rapport à
la vente directe en salon ou sur le web, s’entend), et même si pour
l’image de marque de l’association éditrice qui se veut libre et
indépendante, vendre ses livres en “supermarché” n’est pas très
cohérent, c’est un système qui a fait ses preuves! En ce qui me
concerne, je veux bien mettre un mouchoir sur ma fierté, d’autant que
plus le livre se vendra, et plus mon message se répendra. Et -bien sûr-
plus Astobelarra pourra éditer d’autres auteurs dans la même collection,
ou dans sa collection bilingue.
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